L’œuvre de construction démocratique
est souvent parsemée de péripéties. L’histoire nous a servi bien des exemples
qui attestent cette affirmation. Beaucoup de pays africains au lendemain des indépendances
ont enregistré des transitions démocratiques qui se sont faites dans la
douleur. Les premiers régimes qui se sont installés dans certains états ont
vite faits de disparaître après que leurs peuples ont connu des sursauts
d’éveil de leur conscience citoyenne. Le citoyen conscient de la force qu’il
représente dans la mode de gestion des affaires de son pays a porté son choix
sur une forme de lutte avec comme seule arme la carte d’électeur.
Le Bénin, le Cap-Vert et le Sénégal ont connu des transitions démocratiques par la voie royale des urnes même si les expériences n’ont pas été les mêmes de part et d’autres dans ces trois pays respectifs. Aujourd’hui le Mali qui a connu Alpha Omar Konaré, Amadou Toumani Touré(ATT), a vu son histoire encore écornée par des événements douloureux (même si par ailleurs l’on peut supposer des causes exogènes), ce vaste pays de la sous-région Ouest africaine a malheureusement connu la guerre. Quel regret ! Dimanche 28 Juillet 2013, une ère nouvelle s’ouvre pour ce pays de la « DIATIGYA ». Le citoyen malien est appelé à aller aux urnes pour choisir son dirigeant. Taire les armes pour aller répondre à l’appel des urnes. Nous avons vécu les échos jusque dans notre chère ville Rufisque ou s’étaient scellés en son temps les accords de la fameuse Fédération du Mali : premiers signes précurseurs de l’indépendance du Mali et du Sénégal.
La cité de Mame Coumba Lamb a abrité un centre de vote à l’occasion des élections maliennes de ce 28 Juillet 2013 avec 2 bureaux de vote qui sont installés, lesquels devaient enregistrer le vote de 541 électeurs inscrits sur les listes électorales.
Il est vrai et nous ne le contestons nullement, ces consultations citoyennes sont loin de constituer un exemple de scrutin libre, équitable et transparent du fait de certaines irrégularités et dysfonctionnements qui ont jalonné le processus électoral ; mais il faut admettre cependant qu’il y’avait de la détermination et de l’engagement chez ce peuple qui voit en ces élections une voie pour sortir d’une crise sociale, économique et politique qui avait fini d’installer l’angoisse et le malaise.
Le Bénin, le Cap-Vert et le Sénégal ont connu des transitions démocratiques par la voie royale des urnes même si les expériences n’ont pas été les mêmes de part et d’autres dans ces trois pays respectifs. Aujourd’hui le Mali qui a connu Alpha Omar Konaré, Amadou Toumani Touré(ATT), a vu son histoire encore écornée par des événements douloureux (même si par ailleurs l’on peut supposer des causes exogènes), ce vaste pays de la sous-région Ouest africaine a malheureusement connu la guerre. Quel regret ! Dimanche 28 Juillet 2013, une ère nouvelle s’ouvre pour ce pays de la « DIATIGYA ». Le citoyen malien est appelé à aller aux urnes pour choisir son dirigeant. Taire les armes pour aller répondre à l’appel des urnes. Nous avons vécu les échos jusque dans notre chère ville Rufisque ou s’étaient scellés en son temps les accords de la fameuse Fédération du Mali : premiers signes précurseurs de l’indépendance du Mali et du Sénégal.
La cité de Mame Coumba Lamb a abrité un centre de vote à l’occasion des élections maliennes de ce 28 Juillet 2013 avec 2 bureaux de vote qui sont installés, lesquels devaient enregistrer le vote de 541 électeurs inscrits sur les listes électorales.
Il est vrai et nous ne le contestons nullement, ces consultations citoyennes sont loin de constituer un exemple de scrutin libre, équitable et transparent du fait de certaines irrégularités et dysfonctionnements qui ont jalonné le processus électoral ; mais il faut admettre cependant qu’il y’avait de la détermination et de l’engagement chez ce peuple qui voit en ces élections une voie pour sortir d’une crise sociale, économique et politique qui avait fini d’installer l’angoisse et le malaise.
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